La légende d’Elzébor

Auteur / Autrice

Michaël Escoffier

Illustrateur / Illustratrice

Matthieu Maudet

Éditions

l'école des loisirs

ISBN

9782211239332

  • Converser
  • Développer le discours
  • Éléments grammaticaux
  • Inférer
  • Nommer et catégoriser
  • Questionner et répondre
  • S’éveiller à l’écrit
  • Converser avec l'enfant
  • Inférences complexes
  • Langage littéraire
  • Mots-questions
  • Pronoms personnels
  • Raconter
  • Vocabulaire des verbes
  • Causalité
  • Elle
  • Émotions / intentions
  • Les verbes mentaux
  • Pourquoi
  • Prédictions
  • Structures narratives
  • Grammaire classique du récit

Maïa trouve ses parents bien peureux ! Ils refusent qu’elle aille se baigner dans la rivière, car ils croient qu’il y a un monstre, nommé Elzébor, qui y habite. Son père jure qu’il l’a vu et qu’il ressemble à une énorme grenouille. Maïa défiera ses parents en allant se baigner à la rivière. Elle se fera manger par un crocodile, mais puisqu’elle est très futée, elle trouvera une manière originale de retourner à son village et de sortir de cette position fâcheuse.

On le déguste pour :

  • son grand format, qui facilite la lecture et qui garde l’attention sur le livre.
  • ses images claires, avec juste le bon niveau de détails, qui soutiennent la trame narrative de l’histoire et qui font en sorte qu’on peut raconter l’histoire sans lire le texte.
  • l’héroïne, Maïa, qui n’a pas froid aux yeux et qui trouve des solutions inventives !
  • le court texte, quelques phrases par page, qui porte principalement sur les actions et les dialogues.

Un excellent apport pour stimuler les compétences langagières suivantes :

  • Le savoir-partagé et les verbes mentaux : Qu’est-ce que pensent les villageois quand ils voient le crocodile arriver au village ? Est-ce qu’ils savent que Maïa est dans le crocodile ?
  • Les émotions : peur, déception, colère, soulagement,…
  • Les inférences causales entre les actions, les émotions et les dialogues : Pourquoi ses parents ne veulent pas que Maïa se baigne dans la rivière ?
  • Le vocabulaire littéraire : tomber nez à nez, distinguer, dénicher, sombre, fous de rage, …
  • La narration car le schéma narratif standard est respecté et que la fin est ouverte, ce qui nous permet de discuter avec l’enfant de la suite de l’histoire.
  • L’usage du pronom personnel «elle»: l’héroïne étant une petite fille, le pronom féminin est plusieurs fois rencontré dans l’histoire; il est même possible d’inciter l’enfant à en faire usage par la simple description des actions du personnage telles que présentées dans les illustrations.

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Pour se le procurer

Marie-Pier Gingras

Rédactrice

Marie-Pier Gingras

M. P. O. Orthophoniste – Rédactrice

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