Angèle, la gentille araignée

Un excellent apport pour stimuler les compétences langagières suivantes :

• Le vocabulaire des bestioles, plus particulièrement l’araignée, l’escargot, le ver de terre, la sauterelle, l’abeille et le papillon. D’ailleurs, ils sont majoritairement illustrés en entier sur un fond blanc et occupent une bonne partie de l’espace sur la page. Cela permet aux tout-petits de bien voir leurs caractéristiques distinctes.
• Le vocabulaire des adjectifs. Les insectes décrivent Angèle avant de s’enfuir (sale, poilu, dégoûtant, caché, horrible). D’autres adjectifs ponctuent aussi le texte (seule, gentille, beau).
• Le vocabulaire des émotions de la joie, de la tristesse et du dégoût.
• Le pronom personnel « je ». La petite araignée commence par « je » chaque phrase qu’elle tente d’adresser aux bestioles.
• Le temps de verbes au présent. Tous les verbes à quelques exceptions près sont conjugués au présent.
• Les inférences simples, plus précisément les inférences des émotions de base et les prédictions simples. Le caractère répétitif de la réaction des insectes aide l’enfant à prédire la suite des événements. Le lecteur peut ainsi demander à l’enfant de prédire la réaction de la prochaine bestiole rencontrée par Angèle. Les illustrations peuvent fournir des indices, puisque les expressions de dégoût sont exagérées. Le lecteur peut également interroger l’enfant sur le contenu de la boite d’Angèle.