On le déguste pour :
- son concept loufoque et original: s’autoproclamant «le premier livre à culotte du monde», il oblige le lecteur à devoir d’abord enlever la culotte rouge qui «habille» le livre, s’il souhaite ouvrir ce dernier.
- le plaisir qu’il procure à l’enfant en lui offrant l’opportunité d’entendre et de dire à répétition le mot «culotte» – un mot qui, on va se le dire, fait toujours rire les tout-petits!
- ses pages en pochoirs, qui permettent à chaque page de droite de découvrir une nouvelle culotte sans pour autant en révéler son propriétaire. À l’aide des indices offerts en page de gauche, l’enfant tente de déduire de qui il s’agit.
- son visuel magnifique: un fond style «papier kraft», qui permet de faire bien ressortir les personnages, ceux-là aux couleurs vives et illustrés un peu à la manière d’un collage de papiers à motifs variés
- sa chute rigolote, que les plus observateurs auront peut-être anticipée avant la fin: la nouvelle culotte d’ours blanc était toute blanche…et se trouvait donc sur lui, tout simplement!